Actuellement en pleine rééducation suite à une fracture du pied qui a nécessité une opération, le rookie australien Ben Simmons (2m08, 20 ans) n’a pas encore foulé les parquets NBA en match officiel de saison régulière. Auteur d’une Summer League convaincante (12.3 points, 7.8 rebonds et 5.5 passes décisives en moyenne par match à Las Vegas) avec les Philadelphia 76ers, le numéro 1 de la draft 2016 est cependant annoncé comme étant l’une des futures superstars de la NBA.
Enormément d’espoirs sont placés en lui pour redorer le blason d’une franchise qui a l’habitude de se situer dans les profondeurs de la ligue depuis la saison 2013/2014. Il faut dire que cette pépite a du talent et un potentiel énorme, tant sur le plan sportif que marketing. Ailier-fort disposant d’une vision de jeu de meneur et la mobilité d’un arrière, Simmons est ce que l’on appelle un phénomène. Sa polyvalence exceptionnelle, combinée à sa taille et sa puissance physique, font de lui un athlète hors normes. Il est d’ores et déjà comparé aux légendes de la balle orange.
Déjà plusieurs contrats publicitaires
Disposant du même agent qu’un certain LeBron James, signataire d’un contrat à vie avec l’entreprise Nike, le prodige natif de Melbourne s’avère lui aussi être une machine à cash. En plus de son contrat NBA qui s’élève à 12 072 000 dollars sur deux ans (5 903 000$ en 2016/2017 et 6 168 840$ en 2017/2018), l’intéressé est équipé par la célèbre firme américaine à la virgule, à l’image du « King » des Cleveland Cavaliers. Au niveau business, on parle d’un deal sur cinq ans estimé entre 20 et 40 millions de billets verts. Le montant exact dépendra de ses performances sur le terrain et les récompenses individuelles qu’il obtiendra.
Parmi les autres contrats commerciaux paraphés par Ben Simmons, on retrouve des accords avec de sociétés prestigieuses telles que Beats by Dre ou encore Upper Deck. Le premier nommé est un fabricant de casques audio, écouteurs et haut-parleurs. La seconde est une marque de cartes sportives de collection.