La vie des basketteurs américains en Europe

Le prix initial était : 49 €.Le prix actuel est : 29 €.

« De l’autre côté de l’Océan » relate de la vie en Europe des basketteurs professionnels américains. Ceux-ci sont éparpillés un peu partout à travers le Continent.

De leurs premiers pas sur le Vieux Continent à leur (plus ou moins difficile) adaptation à la vie et culture européenne, en passant par les liens noués avec les personnes rencontrées lors de leur carrière à l’étranger, de nombreux sujets de vie sont traités. Le côté business du sport professionnel n’est pas oublié, puisque la relation avec les agents et la quête de contrats de sponsoring est également traité.

Contenu de l’Ebook « De l’autre côté de l’Océan : La vie des basketteurs américains en Europe »

De nombreux basketteurs ayant évolué en France ont apporté leur témoignages concernant leurs expériences en dehors des États-Unis. Parmi eux, on retrouve Jared Newson (ex Hyères-Toulon Var Basket, Saint Vallier Drôme Basket, BC Orchies, Cep Lorient et ALM Evreux), Toddrick Gotcher (ex Cholet Basket), Dee Bost (ex AS Monaco et SIG Strasbourg), Frank Hassell (ex Cholet Basket, Boulazac Basket Dordogne et Le Portel), Jamal Shuler (ex JA Vichy, SLUC Nancy, Nanterre 92 et AS Monaco), Will Solomon (ex Sharks Antibes), Kenny Hayes (ex Limoges CSP) ou encore Jeremi Booth (ex Calais et Prissé-Macon).

Le sommaire du livre

Retrouvez ci-dessous le sommaire du livre numérique « De l’autre côté de l’Océan : La vie des basketteurs américains en Europe ».

CHAPITRE 1 : GENÈSE

Comme tout enfant fan de basket à travers le Monde, les Américains rêvent de NBA, la plus prestigieuse compétition de basket-ball. Le jeu étant international et la concurrence tellement rude, les basketteurs qui ne sont pas retenus par l’une des trente franchises de la NBA à l’issue de leur cursus universitaire n’ont d’autre solution que de quitter les États-Unis s’ils souhaitent réellement vivre de la pratique de ce sport.

CHAPITRE 2 : LA DÉCOUVERTE DE L’ÉTRANGER

Découvrant l’Europe ou tout simplement un pays autre que les États-Unis pour la première fois de leur vie, certains américains ont le mal du pays, ne parviennent pas à s’adapter aux coutumes locales, au décalage horaire ou au jeu pratiqué, et finissent rapidement par rentrer chez eux.

CHAPITRE 3 : LE CHOC CULTUREL

Pour un basketteur américain, et particulièrement un jeune rookie de 22 où 23 ans sortant de l’université, la découverte de l’Europe peut s’avérer désastreuse sur le plan culturel. Il s’agit d’un changement d’environnement radical. Fini les gros building, les « skyscrapers », les salles pouvant accueillir 15 000 spectateurs. La nourriture est différente, de même que le style de vie, la culture, la langue parlée, etc.

CHAPITRE 4 : L’ALIMENTATION

L’alimentation est une composante essentielle dans la réussite de la carrière d’un basketteur professionnel. Si ce dernier ne mange pas sainement et dispose d’une hygiène de vie non adaptée au sport de très haut niveau, ses performances sur le terrain vont se retrouver affectées et il lui sera plus difficile de décrocher un bon contrat.

CHAPITRE 5 : LES CONDITIONS DE VIE

En plus de laisser beaucoup de temps libre, basketteur professionnel est un métier plutôt très bien rémunéré. Maillons essentiels de leur équipe, les athlètes américains possèdent généralement en conséquence des plus gros salaires des championnats dans lesquels ils évoluent…

CHAPITRE 6 : UNE JOURNÉE TYPE

D’une manière générale, les journées se suivent et se ressemblent pour les basketteurs professionnels évoluant de l’autre côté de l’Océan. Il existe trois principaux types de journée… Découvrez-les à travers ce chapitre.

CHAPITRE 7 : LE TEMPS-LIBRE, LES LOISIRS

Une vie de basketteur professionnel à l’étranger offre beaucoup de temps-libre, en dehors des entraînements et des matchs. Si une partie de la journée doit être consacrée au repos pour faciliter la récupération et éviter les blessures, il leur reste chaque jour plusieurs heures à vivre. Ce temps, les basketteurs l’utilisent différemment et comme ils l’entendent selon différents critères plus ou moins liés, telle que l’âge, la maturité, et surtout les goûts de chacun.

CHAPITRE 8 : LES COÉQUIPIERS

La relation entre coéquipiers n’est pas toujours évidente. Les raisons sont multiples : jalousies diverses concernant le temps de jeu, les responsabilités sur le terrain, le salaire, voir même les petits amies des uns et des autres…

CHAPITRE 9 : L’ENTOURAGE

Dans environ 90% des cas, les Américains débarquent seuls en Europe au début de la saison. En fonction de leur situation familiale (célibataire, en couple, marié, pacsé, etc.), de leur style de vie et de leurs revenus, ils sont parfois rejoints par un ou plusieurs membres de leur famille.

CHAPITRE 10 : L’INTERSAISON

Une fois la saison terminée, il est l’heure pour les basketteurs américains de rentrer au pays et de profiter d’une pause bien méritée.

CHAPITRE 11 : LES FANS

Sans eux, le basket professionnel n’existerait pas. Les fans apportent une bonne partie du financement de cet univers. Si aux États-Unis les étudiants sont supporters à fond de leur fac pendant et après leurs études effectuées dans une université américaine, le fonctionnement est complètement différent en Europe.

CHAPITRE 12 : LES GROUPIES

Mythe ou réalité ? Que cela soit en NBA ou dans les championnats à l’étranger, les groupies font beaucoup parler d’elles.

CHAPITRE 13 : LES AGENTS

La plupart des basketteurs américains possèdent la particularité d’avoir au moins deux agents sportifs. Les mentalités des basketteurs vis à vis des agents divergent d’un athlète à un autre.

CHAPITRE 14 : LE SPONSORING

Devenir sponsorisé en étant un basketteur étranger dans un pays européen est difficile. Mais pas impossible…

CHAPITRE 15 : LE RÊVE DE LA NBA

Pour tout basketteur qui se respecte, américain ou non, porter un jour un maillot d’une franchise NBA avec son nom brodé au dos est l’objectif ultime. Au vu de la forte compétitivité et de la concurrence infernale existante, il est extrêmement difficile pour un athlète d’intégrer la grande ligue américaine. Mais surtout d’y rester sur la durée… Parmi les basketteurs américains évoluant ou ayant évolué en Europe et qui ont touché leur rêve NBA des doigts, deux cas se présentent. Il y a ceux qui ont d’abord eu l’opportunité d’être propulsés en NBA avant d’atterrir sur le Vieux Continent. Et ceux qui se sont servis de leurs performances en Europe pour décoller tout droit en direction du meilleur championnat au Monde.

Dans la même collection que "La vie des basketteurs américains en Europe" :

Bonus 1 : L’américain DJ Stephens s’exprime sur sa vie en France

dj stephens vie americain en france

La vie de DJ Stephens est faite de voyages et de rencontres. Comme celle de tous les autres basketteurs américains travaillant à l’étranger. Pour sa cinquième saison dans le monde du basket professionnel, cet athlète affichant trois matchs NBA sur son CV a posé ses valises dans l’Hexagone. Au Mans, plus précisément. Dans la Sarthe, ce dunkeur fou a pris ses premières marques. DJ Stephens semble plutôt s’épanouir en France. Pour le site anglophone Down South Noise, où il tient un blog, l’intéressé raconte sa nouvelle vie. Extraits choisis.

Le MSB, un club de passage pour DJ Stephens

« Le Mans est ma destination temporaire pour les neuf prochains mois. Parmi tout les endroits dans lesquels j’ai été depuis que j’ai commencé à jouer pro à l’étranger, c’est probablement la ville la plus agréable. La ville est magnifique. Elle est beaucoup plus grande que j’imaginais au départ. Les gens sont sympas. J’ai des coéquipiers cool avec lesquels je m’entends. Nous avons aussi un super staff de coachs. Le club est très professionnel et prend soin de nous.

Cette pré-saison a été plutôt intéressante pour moi. Dans les années passées, j’ai été aux camps d’entraînements d’équipes NBA. Donc j’ai régulièrement manqué la pré-saison à l’étranger. J’ai appris un peu de chose sur moi durant le mois dernier. Cela m’a aussi permis d’apprendre une nouvelle forme d’attaque, apprendre la façon dont mes coéquipiers jouent, s’ajuster sur la façon de défendre et des différentes rotations. Et simplement de trouver des spots où je peux impacter sur le jeu, à la fois offensivement et défensivement. Je me suis démené. Au fur et à mesure que la pré-saison avançait, je me suis progressivement amélioré. J’ai terminé assez fort. Je dois simplement toujours resté concentré, croire en moi-même et au processus. C’est une longue saison. Et je dois surmonter n’importe quel obstacle qui doit arriver.

Le décalage horaire et l’éloignement de ses proches

Il existe un certain nombre de facteurs qui font que tu peux avoir une année pleine de succès. Ou alors qui ressemble à un long cauchemar. Tu passes la majorité de l’année loin de tes amis, de ta famille. Et de tout ce que tu connais. En étant à l’étranger, tu es en dehors de ta zone de confort. Il y a 7h de décalage horaire. Durant plus de la moitié de ma journée, je ne peux communiquer avec personne aux Etats-Unis. Parce que les gens dorment quand je suis éveillé.

Je suis très excité vis à vis de cette année. Je sens que l’on a une superbe équipe et que ça va être une grande année à titre personnel. Aussi, c’est la première année que mes enfants vont venir passer du temps avec moi. C’est toujours difficile de devoir les voir à travers l’écran d’iPad pendant des mois. Ou de ne pas pouvoir les prendre dans mes bras et les embrasser. J’ai manqué beaucoup de choses, des anniversaires et des moments clés de leur vie. Tout cela parce que je devais être ailleurs pour jouer au basket-ball.

La difficultés liées à la barrière de la langue

La barrière de la langue est quelque chose que tu dois apprendre à surmonter. Faire quelque chose de simple, comme commander un cheeseburger sans oignon, peut rapidement devenir compliqué quand la caissière ou la serveuse ne parle pas anglais. Tu te dis : “Je vais continuer à répéter cela dans ma langue. Et prier d’une façon ou d’une autre que quelqu’un me comprenne”.

Bonus 2 : Quel regard portent les « fans » américains sur le basket international ?

Aux États-Unis, pays où est né le basket-ball et où les meilleurs basketteurs de la planète évoluent au quotidien, la population lambda semble globalement avoir tendance à ne pas prêter attention et/ou sous-estimer les championnats étrangers malgré une internationalisation évidente de la NBA, qui ne peut plus uniquement se contenter de ses joueurs locaux pour rester la meilleure ligue de basket au Monde et engranger des millions de dollars de recettes.

Quoi de mieux qu’interroger un basketteur américain ayant évolué sur plusieurs continents (dont l’Europe) pour obtenir un avis de qualité sur le sujet ?

« Aux USA, il n’y a aucun intérêt pour le basket à l’étranger. Un joueur venant d’Europe comme Teodosic qui signe dans une équipe NBA, en l’occurence aux Clippers, les gens à Los Angeles se demandent qui est ce gars. Ils vont probablement regarder des highlights mais ils ne savent pas vraiment à quel point il est bon et ce qu’il a accompli dans sa carrière. C’est difficile de faire prendre conscience de ça aux individus aux États-Unis. De même, les gens ne prêtent pas attention aux performances des américains évoluant en Europe. Ils ne savent pas qui ils sont et où ils jouent. Pourtant, il y a de très bons joueurs en Europe. Aussi, il y a plusieurs basketteurs NBA qui sont venus jouer en Europe et qui n’ont pas été bons comme Brandon Jennings et MarShon Brooks en Italie par exemple. Le basket aux États-Unis et en Europe sont deux jeux différents. Les règles sont différentes. Les gens aux USA sont arrogants, on pense que les États-Unis sont les meilleurs dans tout. On dit que si tu joues là-bas, à l’étranger, tu n’es pas bon. Il faut changer cette mentalité. Mais il est très difficile de rapprocher ces deux mondes cependant parce que la population américaine s’en fiche simplement. Elle ne jure que par la NBA. C’est triste, mais la culture américaine est comme ça, on ne pense qu’à notre pays. On a été éduqué de cette façon depuis tout petit, notamment à l’école. Moi-même, avant de venir jouer en Europe, je ne connaissais rien de ce continent. J’ai encore beaucoup à apprendre mais mon esprit s’est ouvert. Je pense néanmoins que dans 5 ou 10 ans, la NBA et l’Euroleague vont fusionner. Je ne dis pas que les Lakers affronteront le Fenerbahce, mais qu’il y aura un match NBA et Euroleague dans une seule et même arena lors d’une même soirée, à l’image des Global Games à Londres. Ça aiderait à apporter plus d’attention au basket international. Mais ça va demander énormément de temps avant que la population américaine commence à s’y intéresser. »

Bien que le basket international soit de plus en plus respecté par les spécialistes américains de la balle orange, notamment depuis l’émergence au début des années 2000 des légendes européennes encore en activité que constituent Dirk Nowitzki, Pau Gasol ou encore Tony Parker, et des échecs de Team USA en compétition officielle (6ème au championnat du Monde 2002 à Indianapolis, 3ème aux Jeux Olympiques d’Athènes en 2004 et 3ème au championnat du Monde 2006 organisé au Japon), les compétitions et clubs extérieurs à la NBA sont donc encore loin d’avoir acquis ne serait-ce q’un niveau intermédiaire de notoriété…

Bonus 3 : Les sacrifices consentis par les basketteurs américains pour Noël

Être un athlète professionnel ne présente pas que des avantages. Loin de là. Mis de côté la gloire, la célébrité et un salaire bien supérieur à la moyenne allant avec, ce métier requiert de faire des sacrifices de plusieurs types.

Comme l’a fait remarquer Malcolm Delaney, la star américaine de Milan et ancien joueur de l’Élan Chalon-sur-Saône, il n’a passé Noël avec sa famille qu’à seulement quatre reprises lors des quatorze dernières années. Dont trois éditions lors de son cursus universitaire de quatre ans à Virginia Tech. Cela signifie que depuis le début de sa carrière de basketteur professionnel en France lors de la saison 2011/2012, ce gros scoreur n’a pu célébrer la naissance de Jésus auprès des siens à l’occasion d’une seule année.

Ne s’étalant pas sur le sujet, il n’a pas précisé laquelle. En jetant un oeil à son CV, on peut imaginer qu’il s’agit de l’une de ses deux saisons passées en NBA, où il a porté les couleurs des Atlanta Hawks entre 2016 et 2018. Et encore, la Grande Ligue ne s’arrête pas de fonctionner pour Noël, une poignée de matchs étant programmés tous les ans le 25 décembre.

Un train de vie atypique

« Croyez-moi, pour accéder à l’endroit où vous voulez aller, vous devez faire de vrais sacrifices. Vous ne pouvez pas faire semblant. », a-t-il simplement posté sur son compte Instagram. Son message montre bien à quel point le fait de quitter les États-Unis pour devenir un athlète pro à l’étranger n’a rien d’évident sur le plan familial. A priori célibataire sans enfant, cet ancien MVP des championnats ukrainiens et allemands vit seul dans son appartement milanais.

Son cas est semblable à celui à des centaines de confrères américains construisant une carrière de basketteur à l’international. Ces sportifs professionnels sont séparés de leur famille ainsi que de leurs amis pendant neuf à dix mois de l’année. Lorsqu’ils sont mariés, sont en couple ou possèdent des descendants, la situation est cependant souvent différente. En revanche, en cette période de pandémie mondiale cette année, bon nombre de femmes de joueurs et leurs enfants sont restés aux USA. Du moins, dans un premier temps. Pour le début de la saison, un certain nombre de joueurs ont été privés de leur famille pour des raisons administratives et sanitaires. Des mesures de précaution et des restrictions ont été prises.

Dans le basket professionnel, les jours fériés n’existent pas toujours

Par ailleurs, tous les basketteurs américains n’ont pas les moyens financiers d’inviter les membres de leur famille à passer les fêtes de fin d’année avec eux. Les billets d’avion, entre autres, coûtent chers. Il y a également des frais annexes.

Les seuls athlètes US ayant la possibilité de fêter Noël avec leurs proches sont ceux qui évoluent dans les divisions inférieures. Là-bas, le championnat marque souvent un arrêt de deux à trois semaines entre la fin de l’année civile et le début d’une nouvelle. Et ce, contrairement aux compétitions majeures un peu partout dans le Monde. Comme évoqué précédemment, toutes les équipes NBA ne sont pas au repos le jour de Noël. De même, la saison ne s’arrête pas en Chine. En France, la trêve hivernale en LNB a lieu après Noël mais avant le Nouvel An. En outre, les clubs disputant l’Euroleague et l’Eurocup ne peuvent pas se permettre de laisser rentrer au bercail leurs joueurs étrangers à cette période en raison du calendrier sportif.

D’une manière plus générale, les fêtes comme Thanksgiving mais aussi les anniversaires et les mariages sont involontairement sacrifiés par les basketteurs professionnels. Leur emploi du temps ainsi que leur éloignement géographique par rapport à leur famille ne leur permettent pas de vivre ces moments précieux dans la vie d’un être humain. Présent dans la bulle d’Orlando avec les Los Angeles Lakers l’été dernier, Alex Caruso avait manqué les festivités liées au mariage de sa soeur. Cet exemple n’en est qu’un parmi tant d’autres…

Qui est le fondateur de Basket-BallWorld ?

Alan Le Bolloch est le fondateur du site web Basket-BallWorld. Passionné de la balle orange depuis son plus jeune âge, il a pratiqué le basket-ball en club pendant près de 15 ans. Originaire de Bretagne, dans un département sevré de basket de haut niveau durant toute son adolescence, ce vannetais de naissance n’avait que très peu l’occasion d’assister à des matchs professionnels. Son unique opportunité n’avait lieu qu’une fois par an. Le temps d’un week-end, le club phare de sa ville accueillait entre un et quatre matchs amicaux d’équipes pros. C’est lors de ce tournoi de pré-saison qu’Alan a réalisé ses premiers articles et interviews, à l’âge de 17 ans. Le légendaire Amara Sy et un certain Rudy Gobert, alors pensionnaire du centre de formation de Cholet à l’époque, auront été les premiers à répondre à ses questions. L’aventure Basket-BallWorld venait alors tout juste de naître. Et ce, à partir de rien. Ou presque. Un très modeste blog hébergé sur l’outil Blogger lui permettait de publier de petites brèves au quotidien.

Victor Wembanyama - Alan Le Bolloch
Avec Victor Wembanyama dans la "family room" de l'Asvel, après le match 2 des finales LNB 2022.

Un blogueur qui a accompli ses rêves d’enfant

Féru de NBA, Alan Le Bolloch a grandi en dévorant chaque semaine des magazines tels que 5 majeur, Mondial Basket et Basketnews. A l’époque, les réseaux sociaux n’existaient pas encore. Et l’accès à internet n’était pas aussi évident qu’aujourd’hui. A l’été 2008, lors d’un stage de basket en Normandie, sa rencontre avec Tony Parker aura été un moment marquant de sa vie. D’autant plus qu’elle a eu lieu le jour même de son quatorzième anniversaire. Bien qu’intimidé par la présence et les mots glissés par celui qui avait été élu MVP des finales NBA un an plus tôt, Alan gardera pendant longtemps ce souvenir gravé dans sa mémoire. Il s’en servira comme motivation pour accomplir ses rêves et croire en son destin.

Des rencontres qui ont tout changé

Quelques années plus tard, ses rencontres avec d’autres basketteurs NBA francophones auront eu un impact significatif dans sa vie professionnelle. Parallèlement à ses études en Management du Sport, Alan Le Bolloch a collaboré avec plusieurs journaux de la PQR (presse quotidienne régionale) et revues spécialisée basket. Une interview avec Nicolas Batum, de passage en Bretagne pour rendre visite à un ami, lui aura instantanément permis de gagner en crédibilité. Dès le lendemain de la publication de cet entretien dans le journal Le Télégramme, l’opportunité d’intégrer la future équipe rédactionnelle de l’hebdomadaire Basket Hebdo se présentait d’elle-même. A tout juste 19 ans, l’auteur du blog Basket-BallWorld allait alors réaliser un rêve : écrire pour le journal papier référence du basket en France.

Rudy Gobert - Alan Le Bolloch Bercy
Avec Rudy Gobert, au All-Star Game LNB à Bercy en décembre 2012.
Rudy Gobert - Alan Le Bolloch NBA
7 ans plus tard, au All-Star Game NBA à Chicago en février 2020.
Alan Le Bolloch interview Batum
En avril 2013 à Lorient, une interview avec Nicolas Batum qui a tout changé...
Nicolas Batum - Alan Le Bolloch
A Los Angeles, en novembre 2022.
En plus de multiplier les contacts avec les différents acteurs du jeu (joueurs, coachs, agents, arbitres…), ces expériences dans le journalisme sportif lui ont permises de développer une expertise dans la rédaction. Mais aussi d’acquérir une vision globale sur tous les échelons du basket en France : de la Pré-Nationale à l’Elite, en passant par la NM3, NM2, NM1, la Pro B et le championnat Espoirs. Et également à l’international, puisque Alan recense plusieurs voyages aux États-Unis à son actif. A ce sujet, Chicago et Los Angeles sont deux de ses destinations favorites. C’est d’ailleurs en Californie qu’il a accédé à ses premiers matchs NBA en étant accrédité. Il s’est retrouvé à interviewer des vedettes comme LeBron James, Chris Paul ou encore Paul George. En 2020, c’est un autre rêve de gosse qu’il a coché sur sa liste : assister au All-Star Game NBA. Et qui plus est, celui de la première sélection de Rudy Gobert… joueur français qu’il avait rencontré au tout début de l’existence de Basket-BallWorld !
Rich Paul - Alan Le Bolloch
En compagnie de Rich Paul, l'agent de LeBron James et d'autres stars NBA.

Alan Le Bolloch : un expert en référencement web SEO

Formé aux bonnes pratiques du référencement et de la création de sites web, Alan Le Bolloch a restructuré Basket-BallWorld courant 2022 pour le professionnaliser. Animé par sa passion pour le basket, il l’alimente régulièrement en contenus de qualité pour atteindre près de 100 000 visiteurs uniques en Mars 2023. Et ce, uniquement par l’intermédiaire des moteurs de recherches. Alan travaille désormais au quotidien sur le développement de Basket-BallWorld.fr, simultanément à la gestion de son agence webmarketing bolloch.com. Il continue de voyager aux États-Unis plusieurs fois par an pour couvrir le basket américain et vous faire vivre les coulisses de la NBA.

Alan Le Bolloch - photographe NBA
A Indianapolis, en décembre 2021.

Un blogueur également photographe !

La passion de Alan Le Bolloch pour la photographie l’aura rapidement amené à investir dans du matériel de pro. C’est lui qui illustre ses propres articles sur Basket-BallWorld. Depuis ses débuts, Alan a été accrédité à plus de 150 matchs de basket professionnel. Plusieurs basketteurs NBA ont repartagé ses clichés sur les réseaux sociaux, dont Victor Wembanyama, Thanasis Antetokounmpo et John Wall.

La vie des basketteurs américains en Europe
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