« De l’autre côté de l’Océan » relate de la vie en Europe des basketteurs professionnels américains. Ceux-ci sont éparpillés un peu partout à travers le Continent.
De leurs premiers pas sur le Vieux Continent à leur (plus ou moins difficile) adaptation à la vie et culture européenne, en passant par les liens noués avec les personnes rencontrées lors de leur carrière à l’étranger, de nombreux sujets de vie sont traités. Le côté business du sport professionnel n’est pas oublié, puisque la relation avec les agents et la quête de contrats de sponsoring est également traité.
Contenu de l’Ebook « De l’autre côté de l’Océan : La vie des basketteurs américains en Europe »
De nombreux basketteurs ayant évolué en France ont apporté leur témoignages concernant leurs expériences en dehors des États-Unis. Parmi eux, on retrouve Jared Newson (ex Hyères-Toulon Var Basket, Saint Vallier Drôme Basket, BC Orchies, Cep Lorient et ALM Evreux), Toddrick Gotcher (ex Cholet Basket), Dee Bost (ex AS Monaco et SIG Strasbourg), Frank Hassell (ex Cholet Basket, Boulazac Basket Dordogne et Le Portel), Jamal Shuler (ex JA Vichy, SLUC Nancy, Nanterre 92 et AS Monaco), Will Solomon (ex Sharks Antibes), Kenny Hayes (ex Limoges CSP) ou encore Jeremi Booth (ex Calais et Prissé-Macon).
Le sommaire du livre
Retrouvez ci-dessous le sommaire du livre numérique « De l’autre côté de l’Océan : La vie des basketteurs américains en Europe ».
CHAPITRE 1 : GENÈSE
Comme tout enfant fan de basket à travers le Monde, les Américains rêvent de NBA, la plus prestigieuse compétition de basket-ball. Le jeu étant international et la concurrence tellement rude, les basketteurs qui ne sont pas retenus par l’une des trente franchises de la NBA à l’issue de leur cursus universitaire n’ont d’autre solution que de quitter les États-Unis s’ils souhaitent réellement vivre de la pratique de ce sport.
CHAPITRE 2 : LA DÉCOUVERTE DE L’ÉTRANGER
Découvrant l’Europe ou tout simplement un pays autre que les États-Unis pour la première fois de leur vie, certains américains ont le mal du pays, ne parviennent pas à s’adapter aux coutumes locales, au décalage horaire ou au jeu pratiqué, et finissent rapidement par rentrer chez eux.
CHAPITRE 3 : LE CHOC CULTUREL
Pour un basketteur américain, et particulièrement un jeune rookie de 22 où 23 ans sortant de l’université, la découverte de l’Europe peut s’avérer désastreuse sur le plan culturel. Il s’agit d’un changement d’environnement radical. Fini les gros building, les « skyscrapers », les salles pouvant accueillir 15 000 spectateurs. La nourriture est différente, de même que le style de vie, la culture, la langue parlée, etc.
CHAPITRE 4 : L’ALIMENTATION
L’alimentation est une composante essentielle dans la réussite de la carrière d’un basketteur professionnel. Si ce dernier ne mange pas sainement et dispose d’une hygiène de vie non adaptée au sport de très haut niveau, ses performances sur le terrain vont se retrouver affectées et il lui sera plus difficile de décrocher un bon contrat.
CHAPITRE 5 : LES CONDITIONS DE VIE
En plus de laisser beaucoup de temps libre, basketteur professionnel est un métier plutôt très bien rémunéré. Maillons essentiels de leur équipe, les athlètes américains possèdent généralement en conséquence des plus gros salaires des championnats dans lesquels ils évoluent…
CHAPITRE 6 : UNE JOURNÉE TYPE
D’une manière générale, les journées se suivent et se ressemblent pour les basketteurs professionnels évoluant de l’autre côté de l’Océan. Il existe trois principaux types de journée… Découvrez-les à travers ce chapitre.
CHAPITRE 7 : LE TEMPS-LIBRE, LES LOISIRS
Une vie de basketteur professionnel à l’étranger offre beaucoup de temps-libre, en dehors des entraînements et des matchs. Si une partie de la journée doit être consacrée au repos pour faciliter la récupération et éviter les blessures, il leur reste chaque jour plusieurs heures à vivre. Ce temps, les basketteurs l’utilisent différemment et comme ils l’entendent selon différents critères plus ou moins liés, telle que l’âge, la maturité, et surtout les goûts de chacun.
CHAPITRE 8 : LES COÉQUIPIERS
La relation entre coéquipiers n’est pas toujours évidente. Les raisons sont multiples : jalousies diverses concernant le temps de jeu, les responsabilités sur le terrain, le salaire, voir même les petits amies des uns et des autres…
CHAPITRE 9 : L’ENTOURAGE
Dans environ 90% des cas, les Américains débarquent seuls en Europe au début de la saison. En fonction de leur situation familiale (célibataire, en couple, marié, pacsé, etc.), de leur style de vie et de leurs revenus, ils sont parfois rejoints par un ou plusieurs membres de leur famille.
CHAPITRE 10 : L’INTERSAISON
Une fois la saison terminée, il est l’heure pour les basketteurs américains de rentrer au pays et de profiter d’une pause bien méritée.
CHAPITRE 11 : LES FANS
Sans eux, le basket professionnel n’existerait pas. Les fans apportent une bonne partie du financement de cet univers. Si aux États-Unis les étudiants sont supporters à fond de leur fac pendant et après leurs études effectuées dans une université américaine, le fonctionnement est complètement différent en Europe.
CHAPITRE 12 : LES GROUPIES
Mythe ou réalité ? Que cela soit en NBA ou dans les championnats à l’étranger, les groupies font beaucoup parler d’elles.
CHAPITRE 13 : LES AGENTS
La plupart des basketteurs américains possèdent la particularité d’avoir au moins deux agents sportifs. Les mentalités des basketteurs vis à vis des agents divergent d’un athlète à un autre.
CHAPITRE 14 : LE SPONSORING
Devenir sponsorisé en étant un basketteur étranger dans un pays européen est difficile. Mais pas impossible…
CHAPITRE 15 : LE RÊVE DE LA NBA
Pour tout basketteur qui se respecte, américain ou non, porter un jour un maillot d’une franchise NBA avec son nom brodé au dos est l’objectif ultime. Au vu de la forte compétitivité et de la concurrence infernale existante, il est extrêmement difficile pour un athlète d’intégrer la grande ligue américaine. Mais surtout d’y rester sur la durée… Parmi les basketteurs américains évoluant ou ayant évolué en Europe et qui ont touché leur rêve NBA des doigts, deux cas se présentent. Il y a ceux qui ont d’abord eu l’opportunité d’être propulsés en NBA avant d’atterrir sur le Vieux Continent. Et ceux qui se sont servis de leurs performances en Europe pour décoller tout droit en direction du meilleur championnat au Monde.