Voyages NBA
Des centaines de personnes se serrent la ceinture chaque mois pour parvenir à s’offrir cette expérience incroyable. Plusieurs années d’économies sont parfois nécessaires selon l’envergure des voyages NBA.
Mais comment expliquer un tel engouement et de tels sacrifices financiers ? Le basket américain est le plus spectaculaire au Monde. Il représente un rêve inachevé pour la plupart des mordus de basket-ball. En effet, plus de 90% de fans NBA ne se sont jamais rendus à un match en direct dans une salle. Pourtant, de nos jours, il n’a jamais été aussi facile d’assister à un match de son équipe préférée. Certes, les tarifs des billets de matchs NBA ne sont pas tous abordables. Les meilleures places restent inaccessibles aux classes sociales les plus défavorisées. Cependant, vous pouvez très bien acheter un ticket NBA pour moins de 100 euros. Et ce, tout en ayant une très belle vue sur le parquet.
Une fois que l’idée d’un séjour basket aux États-Unis a germé dans votre esprit, il va falloir déterminer votre parcours. Toutes les villes américaines ne se valent pas. Certaines sont beaucoup plus prisées que d’autres. Voici les meilleures destinations pour un voyage NBA.
Voyages NBA à New York en 2024 et 2025
New York est la destination touristique numéro 1 des français aux États-Unis ! Par rapport aux autres métropoles américaines, la ville Monde est la plus proche de la capitale française. Paris – New York, c’est à moins de 8h30 de distance. Ce sont aussi les billets d’avion les moins chers pour se rendre aux USA. Pour les passionnés de la balle orange, New York City est la ville idéale. La Mecque du basket-ball s’y trouve. De plus, deux équipes NBA sont abritées à New York. Il y a les New York Knicks et les Brooklyn Nets. Ces deux institutions sportives sont très célèbres. Elles attirent des milliers de touristiques étrangers à chacun de leurs matchs à domicile. Un voyage NBA à New York réussi passe par la découverte de ces deux équipes.
Les billets NBA les moins chers de NYC se trouvent du côté des Brooklyn Nets. Néanmoins, un passage par le Madison Square Garden est obligatoire lors d’un voyage NBA à New York. Il faut prévoir un budget de plusieurs centaines d’euros afin d’assister à au moins un match des deux équipes. Au cumulé, il y a plus de quatre-vingt matchs NBA à New York chaque année.
Voyages NBA à Los Angeles en 2024 et 2025
Du fait de son climat tropical et de son fort accent culturel, Los Angeles est une ville très attractive pour les touristes. Au delà d’Hollywood, le sport est une véritable institution à L.A. Cette ville californienne possède deux équipes professionnelles dans chacun des sports majeurs. Pour les passionnés de basket américain, c’est un pur bonheur. On ne présente plus les Los Angeles Lakers : il s’agit d’une institution en NBA. Il y a également les Los Angeles Clippers, toujours en quête d’un premier titre de champion. Avec un effectif taillé pour jouer les premiers rôles, cette année 2023 pourrait enfin être la bonne ! Les deux équipes NBA de Los Angeles évoluent dans la même salle : la Crypto.com Arena (anciennement Staples Center).
Les billets de matchs lors d’un voyage NBA à Los Angeles sont assez chers. Le prestige à un prix ! S’il serait dommage de ne pas aller voir LeBron James ou Kawhi Leonard en action, vous pouvez toujours vous rabattre sur un match de basket universitaire. On retrouve à Los Angeles deux écoles évoluant en 1ère division NCAA : USC et UCLA. Le niveau de jeu et l’ambiance y sont différentes que dans les salles NBA. Néanmoins, les tickets d’entrée sont plutôt bon marché. Ça reste une expérience agréable !
Voyages NBA à San Francisco en 2024 et 2025
A plusieurs centaines de kilomètres au nord de Los Angeles, se trouve San Francisco. L’équipe NBA locale est tout simplement championne en titre ! Les Golden State Warriors bénéficient d’une excellente réputation. La superstar de l’équipe, Stephen Curry, est tout simplement le meilleur shooteur à trois-points de l’Histoire du basket. A ses côtés, on retrouve des joueurs comme Klay Thompson, Draymond Green ou encore Jordan Poole. Il est impossible de ne pas aimer le jeu pratiqué par les Warriors. Pour un voyage NBA à San Francisco, prévoyez un budget assez conséquent. Le coût de la vie y est très chère et il se répercute sur le prix des billets NBA. Les Golden State Warriors font parties des équipes NBA pratiquant les tarifs les plus élevés du championnat.
Voyages NBA à Miami en 2024 et 2025
La Floride est un autre État prisé par les touristes internationaux ! Les plages de Miami sont un atout considérable pour passer de bonnes vacances. En plus d’être un lieu très festif, on retrouve plusieurs attractions à réaliser dans les alentours de Miami. Concernant le basket, un voyage NBA à Miami s’organise au moins plusieurs semaines avant votre départ. Vous devez réserver vos billets de match, votre vol et hébergement. Les meilleurs prix sont rarement disponibles à la dernière minute. Si vous avez le temps et l’énergie, vous pouvez également faire un tour à Orlando. Néanmoins, le Magic est actuellement l’une des équipes NBA les plus faibles du championnat.
Voyages NBA à Chicago en 2024 et 2025
Chicago est une ville américaine mythique dans le paysage du basket NBA. C’est la franchise qui a fait de Michael Jordan une légende ! Malgré ses températures parfois glaciales en hiver, « Windy City » attire les touristes et fans de la balle orange. Lors d’un voyage NBA à Chicago, assister à au moins une rencontre des Bulls est obligatoire. Vous pouvez en profiter pour visiter deux villes voisines. Milwaukee se trouve à une centaine de kilomètres de la capitale de l’Illinois. A 3h de route au sud de Chicago, Indianapolis est une autre terre de basket.
Liste des voyages NBA par ville
27 villes des États-Unis abritent au moins une équipe NBA. Il y a également une ville du Canada qui abrite une franchise de basket américain. Par ailleurs, Las Vegas accueille certains matchs NBA en décembre et juillet.
Comment organiser un voyage NBA aux États-Unis ?
Voici les options qui s’offrent à vous pour organiser un road-trip autour de votre amour du basket.
Faire appel à une agence de voyage NBA
L’émergence des agences de voyage spécialisées dans le sport américain a été fulgurante ! Celles-ci organisent régulièrement des voyages NBA à travers les grandes villes des États-Unis. New York, Los Angeles, Miami ou encore Chicago font parties des destinations phares proposées. La concurrence est féroce entre ces agences de voyage NBA. Ce qui tend les tarifs vers le bas !
L’avantage de passer par une agence de voyage NBA afin de séjourner aux USA est en premier lieu financier. Si vous ne disposez pas de contact sur place pour vous héberger, c’est assurément la solution la plus économique. Vous serez logés seul ou à plusieurs dans une chambre d’hôtel. Dans tous les cas, le prix de la nuitée sera inférieur à celui auquel vous auriez été soumis en réservant vous-même. De plus, la société organisatrice du séjour va négocier un tarif de groupe pour les billets d’avion aller/retour. C’est la même chose pour les places de matchs NBA. Certaines agences bénéficient de liens privilégiés avec une ou plusieurs franchises NBA. Elles s’occupent d’obtenir des tarifs avantageux, en plus d’expériences fans uniques. Si vous êtes un vrai passionné de basket, renseignez-vous bien à ce sujet avant de choisir votre agence de voyage.
En résumé, les agences de voyages NBA s’occupent de planifier votre séjour de A à Z. Vous serez pris en charge dès votre arrivée à l’aéroport Charles de Gaulle. Des activités culturelles en groupe sont parfois programmées. Tout en étant optionnelles si vous souhaitez vous reposer. Mais cela serait dommage de ne pas en profiter ! C’est une bonne occasion de faire connaissance avec d’autres mordus de NBA.
Mes Voyages NBA : historique
Je vous raconte mes voyages NBA lors de la saison 2022-2023. Il s’agit d’un périple d’un mois dans différentes destinations des États-Unis.
Première étape : Los Angeles
Au lendemain d’un match de Victor Wembanyama avec les Metropolitans 92 face au Limoges CSP, je prends la direction de l’aéroport : direction Los Angeles. Douze heures de vol plus tard, j’atterris dans la cité des Anges en fin d’après-midi. Dès le lendemain matin, une double dose de NBA m’attendait. Les Lakers affrontaient les Cleveland Cavaliers à midi heure locale, avant de laisser place à une confrontation Los Angeles Clippers – Utah Jazz en début de soirée. Disposant d’une accréditation média délivrée par la NBA, j’ai pu disposer de certains accès privilégiés. Il faut savoir que les salles NBA ouvrent leurs portes généralement 3h30 avant le début du match pour les journalistes… Contre seulement 1h à l’avance pour le public ne disposant pas de fan experience.
Parmi les privilèges que procurent le fameux pass réservé aux médias, il y a l’accès bord terrain à l’échauffement des joueurs. Mais également une invitation aux différentes conférences de presse d’avant et d’après match. En ce dimanche de double header à la Crypto.com Arena de Los Angeles, je profite donc de cette double affiche pour en prendre plein les yeux. Mais aussi et surtout pour assister au changement de décor dans la salle entre les deux matchs. Le parquet, le panier et plus globalement tout l’environnement dans la salle ne sont pas les mêmes pour un match des Lakers en comparaison à une rencontre des Clippers. Chaque équipe dispose de ses propres équipements.
Après une journée de plus de 10 heures consécutives passées dans l’ancien Staples Center, la fatigue finissait logiquement par m’emporter. Du repos était nécessaire, surtout qu’un back-to-back m’attendait dès le lendemain ! Après avoir affronté les Lakers la veille, les Cavaliers défiaient les Clippers. Une bien belle affiche sur le papier, qui a tenu toutes ses promesses sur le terrain ! Ce jour là, l’équipe locale avait un entraînement collectif de prévu juste avant le match. Ce genre de séance est pratique courante en NBA. Elles se déroulent à huis clos, ce qui signifie qu’elles sont fermées à toute personne extérieure à l’équipe. Au même titre que le public, les médias n’y ont donc pas accès. Une fois l’entraînement terminé, je croisais Nicolas Batum dans les couloirs de l’arena. Après s’être salué, nous organisions une interview quelques minutes plus tard.
Nous n’avons pas tardé par être rejoints par le rookie français Moussa Diabaté. Malgré sa discrétion dans les médias, il acceptait lui aussi de se prêter à l’exercice de l’interview. Je profitais de la sympathie et de la disponibilité de nos deux basketteurs tricolores pour les photographier. Le duo de français aux Clippers prenait alors la pose !
La suite de mon voyage NBA à Los Angeles aura tout autant été intensive ! Pas de match de basket américain au programme le lendemain, mais un match NHL (hockey sur glace) ! Les Kings de Los Angeles recevaient l’équipe de Minnesota. Au final, les locaux finissaient par l’emporter sur le plus petit des scores (1-0), au terme d’une partie qui ne restera pas gravée dans l’Histoire. Le retour de la NBA à Los Angeles n’aura pas tardé, puisque un derby Clippers vs Lakers m’attendait le jour suivant ! Ce match était marqué par la blessure de LeBron James, qui a par la suite manqué plusieurs matchs. Portés par Paul George, les Los Angeles Clippers finissaient par remporter la bataille de L.A.
Mes trois derniers jours à Los Angeles auront beaucoup tournés autour du basket. Il y a eu une visite sur le campus de USC, qui abrite d’ailleurs une équipe de basket universitaire. J’ai également été faire un tour du côté de Venice Beach. Ce fut l’occasion d’admirer ses mythiques playgrounds avec un magnifique couché de soleil. Enfin, côté matchs NBA, il me restait deux rencontres à assister. La première opposait les Los Angeles Lakers aux Sacramento Kings. Quelques minutes avant l’entre deux, je croisais LeBron James en civil dans la salle à manger des médias. Même si j’avais déjà eu l’occasion d’approcher le King, ce genre de moment reste impressionnant. De nombreuses personnalités étaient présentes à l’occasion de ce match, dont l’agent sportif Rich Paul. Au terme du match, je me devais de rentrer rapidement à l’hôtel. En effet, un choc entre les Clippers et les Nets m’attendait peu de temps après le réveil. De plus, je devais filer à l’aéroport dans la foulée pour enchaîner avec ma prochaine destination. Les matchs NBA à l’heure du déjeuner changent la routine des joueurs. La plupart d’entre eux arrivent plus tardivement à la salle qu’à l’accoutumée. Généralement entre 2 et 3 heures avant le coup d’envoi du match, au lieu de 3h30 à 4h pour les plus studieux. C’était donc une opportunité parfaite pour moi afin de photographier leur arrivée à la Crypto Arena. Concernant le match en lui-même, Kevin Durant et Seth Curry auront été plus forts que les Clippers. Ceux-ci étaient beaucoup trop maladroits pour l’emporter devant leurs fans.
Deuxième étape : Chicago, Milwaukee et Indianapolis
Après une semaine à Los Angeles, je prenais la direction de Chicago. Au programme : de nouveaux matchs NBA et un vol de nuit d’une durée de 4 heures pour effectuer ce transfert. Le décalage horaire entre la Californie et l’Illinois étant de 2 heures, j’arrivais à Chicago de bon matin avec peu d’heure de sommeil au compteur. Le changement de températures entre les deux États était criant. Néanmoins, j’avais peu de temps pour m’acclimater et me ressourcer avant la suite de mes aventures NBA. Dès 16h, les portes du United Center s’ouvraient à moi pour un match entre les Bulls et les Nuggets. Cet enchaînement infernal ne s’arrêtait pas là puisqu’un déplacement à Milwaukee figurait dans mon agenda dès le lendemain matin. Un beau duel Bucks vs Hawks avait lieu en soirée. Et il n’était pas question pour moi de le manquer ! Surtout que j’avais déjà eu l’occasion de me rendre à Milwaukee par le passé, et que Giannis Antetokounmpo avait du déclarer forfait à chaque fois. Arrivé par les premiers médias au Fiserv Forum, je mettais toutes les chances de mon côté pour photographier l’arrivée du Greek Freak dans la salle. Malheureusement pour moi, le double MVP de la saison régulière m’avait devancé de quelques minutes. Au même titre qu’un LeBron James ou Kawhi Leonard, Giannis arrive très très tôt à l’arena lors d’un match à domicile. Cette petite déception n’aura été que de courte durée. Dominique Wilkins débarquait soudainement et lançait en ma direction un « what’s up? ». Ce genre d’interaction est à peine croyable, mais deviens habituelle lorsque l’on pénètre dans l’univers NBA. Légende NBA figurant parmi les 75 meilleurs joueurs de l’Histoire, Wilkins est désormais consultant lors des matchs télévisés des Atlanta Hawks. Il voyage donc avec l’équipe.
Pour l’anecdote, trois bus sont mis à disposition de l’équipe visiteuse à chaque match NBA. Ceux-ci assurent la navette entre l’hôtel et l’arena. L’arrivée des joueurs se fait donc en plusieurs groupes. Le premier est souvent constitué des rookies et des joueurs titulaires d’un two-ways contract. Le second bus contient généralement les joueurs de rôle et certains titulaires. Enfin, le dernier bus assure le transport des stars. Il existe donc une certaine hiérarchie qui est retranscrite par l’ordre d’arrivée des joueurs, même si ce n’est pas toujours le cas.
En ce lundi soir du mois de novembre à Milwaukee, un francophone foulait les parquets NBA. Il s’agissait de la star suisse, Clint Capela. Je tentais donc d’organiser un rapide entretien avec lui, auprès du responsable médias des Hawks. Ma requête étant acceptée, j’ai pu m’entretenir 5 minutes avec l’ancien joueur de l’Élan Chalon juste avant son échauffement individuel.
Malgré un nouveau match à domicile des Bucks prévu le surlendemain, je m’accordais quelques jours de repos. Avec 10 matchs couverts en à peine 13 jours, la fatigue finissait logiquement par m’emporter. Cette mini-pause, même si elle n’aura été que de courte durée, était nécessaire pour tenir jusqu’à la fin du séjour. Car, à ce moment précis, je n’en étais qu’à la moitié de mon voyage NBA !
Après trois jours sans match NBA dans mon planning, les Chicago Bulls recevaient le Orlando Magic. Bien que privée de sa pépite Paolo Banchero, la franchise floridienne est venue s’imposer à l’extérieur. Et ce, au terme d’un scénario complètement dingue ! Nikola Vucevic avait dans ses mains les lancers-francs pour sceller la victoire des Bulls. Il en aura été autrement.
Trois jours plus tard, je rencontrais le pivot francophone des Bulls, au terme d’un succès de prestige face aux Boston Celtics. Notre entretien aura duré près de 10 minutes. On a eu le temps d’aborder plusieurs sujets, dont le NBA Paris Game et son cursus scolaire aux États-Unis.
La veille de Thanksgiving et à deux jours d’un départ pour New York, je décidais de me rendre à Indianapolis. Un basketteur français bien connu y affrontait les Pacers avec sa nouvelle équipe des Minnesota Timberwolves. Vous l’aurez compris, je parle ici de Rudy Gobert. 4h de bus plus tard, me voici à Indianapolis. Le décalage horaire avec Chicago est de 1h, mais un tel changement est à peine perceptible.
L’annulation de mon bus retour à la dernière minute m’aura donné quelques sueurs froides. Thanksgiving est un jour férié aux États-Unis et les transports en commun aux USA ne sont pas autant développés qu’en France. Finalement, tout rentrait dans l’ordre et je pouvais entamer la dernière ligne droite de mon séjour.
Après avoir posé mes valises à Chicago et ses environs pendant une dizaine de jours, l’ultime étape de mon voyage NBA pouvait débuter.
Un séjour à New York pour conclure mon road trip NBA
Nul n’est pas coutume, mon arrivée à New York coïncidait avec un jour de match NBA. Les Portland TrailBlazers rendaient visite aux Knicks. Bien que forfait pour la rencontre, la star Damian Lillard a effectué un léger entraînement individuel. Assister à l’échauffement d’une telle vedette en étant assis à quelques mètres de distance seulement, c’est ce qu’offrent certaines fan experience NBA. Evan Fournier ne sera pas entré en jeu une seconde durant ce séjour NBA à New York. Néanmoins, en grand professionnel, il aura profité de chaque minute à sa disposition sur le parquet pour s’échauffer.
Je retrouvais le Madison Square Garden deux jours plus tard. Le lendemain, je prenais la route de Philadelphie. Bien que j’espérais secrètement y apercevoir mon idole Allen Iverson, ce ne fut pas le cas. Malgré tout, le personnel local a confondu mon prénom avec le sien. Ce qui n’était pas pour me déplaire… A Philly, la ville de l’amour fraternel, les billets de match sont beaucoup moins chers que pour les New York Knicks. Et l’ambiance y est incroyable ! Avec Joël Embiid et James Harden, les Sixers possèdent un duo de superstars que beaucoup de concurrents envient. Avoir après goûté à la spécialité locale, le fameux cheese-steak je pouvais retrouver la ville qui ne dort jamais. Deux matchs NBA des Nets et une affiche Knicks vs Mavericks m’attendaient pour conclure ce séjour fou !